Aller au contenu

Page:Cyrano de Bergerac - Œuvres, 1676, volume 1.djvu/109

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

camuſe. Ne vous repentez donc point, quelque genereux que nous vous croyons, d’avoir uſé ſi à propos du privilege de Normandie ; les ombres de là bas ne ſont pas ſi charmantes que celles de vos allées couvertes ; & je vous proteſte qu’en moins d’un clin d’œil, vous alliez faire un voyage ſi éloigné, que vous n’euſſiez pas eſté de retour avant la Reſurrection ; & moy-meſme en ce Païs, je n’aurois pas trouvé un homme qui euſt voulu ſe charger de vous aller dire de ma part, que je ſuis,

MONSIEUR,
Voſtre Serviteur.