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Page:D'Isle - Deux cœurs dévoués, 1875.djvu/31

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DEUX CŒURS DÉVOUÉS.

— Oh ! maman, c’est à Hélène. Elle a perdu sa petite sœur ; elle a bien plus besoin de Merveille que moi ; je n’ai pas de chagrin, moi ! »

La duchesse embrassa sa fille avec attendrissement.

Le lendemain, la commode en bois de rose et le trousseau de Merveille étaient portés par un domestique de la duchesse de Morancé chez la petite Hélène.