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Page:Décrets des sens sanctionnés par la volupté, 1793.djvu/109

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l’honnêteté fornique avec ce paillard député. Volontiers, voilà que j’y suis.

Rue des Fossés-Monsieur-le-Prince, près le Théâtre-Français, no. 11, est une putain bourgeoise de la seconde classe, nommée M....., belle voluptueuse et de bonne composition, point de desirs auxquels elle ne se prête pour contenter les fouteurs discrets qui l’honorent de leurs séances, et qui la gratifient de leur argent. Cul, con, tettons, sa science et sa lubricité sont de nature, que, sans s’exposer à aucun événement fâcheux, elle dirait volontiers à ses chalans : si vous n’êtes pas content, reprenez votre offrande ; en effet, elle a la croupe la plus mobile et la charnière la plus obéissante qui puisse se rencontrer sous le cotillon de la courtisanne la plus experte. Fouterie paresseuse, fouterie en brouette, fouterie renversée, enfin, fouteries de tous genres ; elle n’ignore rien.

La demoiselle M..... vit avec un certain oncle qui ne l’est pas plus que moi, et qui lui a donné toutes les leçons qu’elle met aujourd’hui si heureusement en pratique. Cet oncle prétendu la fout à ses momens perdus ; il n’y a pas de mal, combien de

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