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Page:Décrets des sens sanctionnés par la volupté, 1793.djvu/112

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gnent qu’il est tems d’ouvrir boutique et de se mettre en chantier.

Si ce moyen ne réussit pas, il est d’autres ressources à mettre en œuvre, et que la fouterie enseigne ; comme la demoiselle M..... ne les ignore pas, elle s’y applique avec ardeur, et au moment où monsieur le médecin commence à peine à bander, sa travailleuse, d’un doigt ferme, s’introduit dans son anus, et lui insinue le postillon, non celui de Calais, qui ne rend compte que de la séance du soir ; mais le postillon courier du plaisir qui peut se planter à toute heure.

Ne vous imaginez pas que je vais vous peindre le médecin ribaud se vautrant ensuite sur sa fouteuse, et déranger dans ses bras l’économie de sa perruque magistrale. Point ; ce n’est même qu’avec peine qu’il se résout à quitter sa canne à bec de corbin ; il veut foutre, à la vérité, mais sans se déranger. Que fait donc la putain bourgeoise, pour obvier à cet inconvénient ? Elle se retourne, se trousse, montre le fessier dont l’aimable nature l’a pourvue, le docteur sans quitter son chapeau de dessous son bras, enfile la route de la félicité, et sans quitter