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Page:Décrets des sens sanctionnés par la volupté, 1793.djvu/20

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tait branlé en l’honneur des appas de madame ....., qu’il croyait foutre réellement. Les approches du plaisir interrompirent son sommeil, et le paillard député ouvrit les yeux au moment où le foutre s’élançant avec ardeur de sa verge alla se fixer sur les meubles voisins et sur le parquet de son appartement.

Revenu de cet état d’enchantement, il disserta sur les délices de la masturbation, et cessa de s’étonner que les Jésuites, en enculant leurs élèves, leur aient appris à se branler. De réflexions en réflexions, il r’empoigna son outil encore ferme et disposé à une nouvelle secousse, et foutit encore, sans courir des risques trop ordinaires, une nouvelle beauté, que son imagination lui peignait. Heureux passe-tems, combien de fois vous m’avez été favorable.

Eh quoi ! se branler, dira-t-on ? Eh ! pourquoi pas. C’est de cette manière qu’un célibataire Epicurien fout toute la terre sans en avoir la réputation ; c’est de cette façon que j’ai foutu la reine de France, les dames de la cour, les courtisannes, qui vendent leurs coups de cul au poids de l’or, et que

j’ai