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Page:Décrets des sens sanctionnés par la volupté, 1793.djvu/38

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prédilection, s’était enfin introduit dans le joli con de ma belle. Je frottais son clitoris, tandis qu’elle-même ayant fait sauter boutons et pont-levis, s’était emparé de mon docteur qu’elle secouait légèrement, ou qu’elle serrait avec ardeur, suivant l’impulsion de son tempérament qu’elle ressentait. Nous confondions nos ames ensemble par la voie des baisers ; déjà les serremens de fesses, et les roidissemens de ma divine, autant que ses soupirs convulsifs m’annonçaient qu’elle jouissait du suprême bonheur ; un frottement délicieux termina l’affaire, et nous déchargeâmmes ensemble : il était teins ; car la voiture arrivait. A demain, mon bel ange, me dit-elle, je t’attends à 10 heures. Eh ! pourquoi pas ce soir ? lui répondis-je. Cela ne se peut, mon cœur, nous courrions risque d’être interrompus, tu dois m’entendre ; que cela te suffise, à demain. Ma voiture te reconduira. Alors elle s’élança dans une maison de jolie apparence[1], et le cocher me roula

  1. Louée à cette charmante sirène par le comte d’Espagnac, demeurant rue des Champs-Elisées. Cette entreteneur de la demoiselle Longueil est neveu de l’ancien commandant des invalides.
chez