Aller au contenu

Page:Décrets des sens sanctionnés par la volupté, 1793.djvu/77

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
( 67 )

Dieux, quel cul ! qu’il est ferme, qu’il est rond, et qu’il est beau ; oui, sans doute, il est digne de mes hommages. Ah ! ma toute divine, souffre que je le baise, que je l’adore ; tout en proférant ces mots, il appliqua ses lèvres brûlantes sur le postérieur de son incomparable nymphe, et il allait sans doute continuer sa motion éloquente sur ces fesses merveilleuses, quand la voluptueuse, d’un coup de croupion, lui annonça qu’il était tems de procéder au grand œuvre.

Un signal aussi agréable ne pouvait manquer de plaire au galant sénateur. Après donc avoir fait l’examen des appas que contenoit l’énorme fessier de la Verneuil, examiné la tabatière qu’elle montrait, il enfila la route bienheureuse, et se mit à perforer le centre des délices. Les amours présidèrent, sans doute, à cette agréable fonction. La Verneuil fit alors son état, non en garce avérée qui n’a pas plutôt reçu le prix de la prostitution, qu’elle desirait être débarrassée du libertin importun, qui réclame de la marchandise pour son argent ; mais en femme sensuelle et voluptueuse, qui malgré l’intérêt qu’elle retirait de ses faveurs

E 2