TROISIÈME PARTIE.
Comment s’accomplira le progrès ? Quels moyens prévaudront ? Quelle sera la route choisie ? C’est ce qu’il est difficile de déterminer d’une manière absolue. Mais quels que soient ces moyens, quelle que soit la route, si c’est un pas vers l’anarchique liberté, j’y applaudirai. Que le progrès s’opère par le sceptre arbitraire des tzars ou par la main indépendante des républiques ; que ce soit par les Cosaques de la Russie ou par les prolétaires de France, d’Allemagne, d’Angleterre ou d’Italie ; d’une manière quelconque que l’unité se fasse, que la féodalité nationale disparaisse, et je crierai bravo. Que le sol divisé en mille fractions, s’unifie et se constitue en vastes associations agricoles, ces associations fussent-elles même, comme les sociétés de chemins de fer, des exploitations usurières, et je crierai