Page:Désaugiers - Chansons et poésies diverses de Désaugiers, 1842.djvu/400

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Et sa douce (6/’.s) parole Soudain les engeôle ; Il fallait, etc. L’Amour répond : « Je sais nia faute ; Mais des raiiss crois-tu que je in)te ? — Kh ! bien ! pour la ])reinière fois, Confondons, dit l’Hymen, nos droits ; » Et la douce (6*s) constance Signa l’alliance : Il fallait qu’ ça finit par-là, Puisque ça commençait con)m’ ça. {bis.)


LE MENUISIER SIMON,
OU LA RAGE DE SORTIR LE DIMANCHE.

Air de la Catacoua.


Allons, Suzon, je t’nons dimanche,
Ouvre tes yeux et tes rideaux ;
Quand j’ons six grands jours scié la planche,
Tu sais qu’ j’ai d’ la maison plein 1’ dos.
IL faut que j’ sortions d’un’ barrière...
Débarbouill’ vite ton garçon... ;
Passe l’ jupon,
Moi, l’ pantalon,
Et, zon, zon, zon,
En avant ma Suzon !
J’gob’rons moins de m’ringu’s que d’ poussière.
Mais je n’ serons point z’à la maison.

Ou c’ que j’irons ? que tu vas m’ dire ;
C’est aujourd’hui foire à Pantin,
Courons-y vite, que j’ respire
L’ parfum z’embaumé du matin...
Seul’ment n’ mets pas tes plus bell’s hardes,
Car ce nuage au-d’ssus d’ Charenton
JN’ promet rien d’ bon ;
Tant pis... Quoi donc ?
Et zon, zon, zon,