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AVANT-PROPOS.
e liai connaissance à Paris pendant l’Exposition
de 78 avec une danseuse Russe, qui faisait
partie d’un corps de ballet en représentation dans
un théâtre du Trocadéro. Mariska, c’est le nom que
nous donnerons à la danseuse qui l’a pris pour signer
ces mémoires — avait trente huit ans sonnés, et
n’en paraissait pas plus de trente, malgré les nombreuses
tribulations par lesquelles elle était passée
dans le cours de son existence.
L’ampleur de ses formes postérieures m’intriguait au dernier point, par le développement qui bombait d’une façon exagérée les jupes repoussées. J’avais, chaque fois que je la rencontrais, une question sur