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III
LA MAISON DE CORRECTION.
e soir, huit heures sonnant, madame
K. m’emporta dans son coupé. Je
tremblais de tous mes membres pendant
tout le trajet qui dura un long quart d’heure.
La voiture s’arrêta devant le perron d’une
grande maison, située autant que je pus
m’en rendre compte, par l’absence de véhicules,
dans un quartier isolé. La porte
s’entre-bâilla dès que nous fûmes sur le
palier, et se referma derrière nous, sans
que personne parut dans le vestibule bien
éclairé cependant.