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Page:D. - Mémoires d’une danseuse russe, 1893.djvu/267

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sans doute, car il devint moins brutal. Jusqu’à présent il m’appliquait des claques qui tombaient au hasard, j’avais des bleus par tout le corps.

Cette nuit il resta dans le logis naturel, mais il me prit comme quand il se logeait dans le voisin, pour avoir mes fesses sous son ventre. C’était aussi pour élargir le fourreau en le tenant dilaté toute la nuit. Comme il bandait quand il entra, il avait frôlé le petit bouton déjà très apparent à l’entrée de mon clavier d’amour. L’outil qui dilatait les bords, s’appuyait tout le temps sur ce petit point de chair. Il sentit que je me mouillais en serrant son membre et en remuant mes fesses.

Si je vous disais que cela m’arriva deux fois encore pendant ma veille et trois fois pendant mon sommeil, toujours avec le même tortillement.

Quand il se réveilla, il fit comme tous les matins dans l’autre gîte, il banda plus fort, et me servit dans cette posture, heurtant mes fesses à chaque poussée en avant. Malgré mes pertes de la nuit, je m’épanchai abondamment, jouissant comme une femme,