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V
PANORAMA DE CHAIR HUMAINE.
e soir venu, ma maîtresse me prit dans
sa voiture. Au lieu de me conduire
dans la salle de bal, elle me confia à une
fille de chambre qui m’attendait dans le vestibule.
Elle me mena par un escalier que
je ne connaissais pas à un palier, sur lequel
s’ouvraient plusieurs portes.
Elle frappa à la troisième. On tira un verrou, et je me trouvai dans un véritable boudoir, un peu étroit, où m’attendait mon dépuceleur. Il poussa le verrou, et me con-