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Page:D. - Mémoires d’une danseuse russe, 1893.djvu/274

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pour mon compte, et aussi pour celui de mon partenaire.

Il me tenait toujours dans ses bras quand je me tordis sur son membre qui n’eut pas part à la fête. Il me replaça devant le verre grossissant toujours enclouée. Mais cette fois il me posa les pieds à terre, me faisant pencher en avant, le nez sur l’objectif accroché à mes deux petits seins, la tête sur mon épaule, et il se mit à jouer dans la gaîne s’appuyant sur mes fesses à chaque poussée en avant. Son outil garnissait si bien le logis que je le sentais s’élargir à chaque ascension.

On fouettait une prostituée, qui n’avait pas dû passer par les verges depuis longtemps. Elle n’avait que trois ou quatre zébrures sur ses fesses qui paraissaient très longues et très larges.

— Nous allons avoir du plaisir, me dit-il à l’oreille. Rien ne me fait bander comme de voir écorcher les gros culs et les cons de ces p… là.

Il allait et venait dans le fourreau pendant que la fouetteuse géante levait des bouleaux gigantesques, sur les fesses monstres