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III
CON RANCE ET CUL FOIREUX.
uit jours après mon entrée dans
l’atelier de couture, la gouvernante
entra comme une furie, se dirigeant vers
la sous-maîtresse, qui devina qu’une tempête
était suspendue sur son postérieur.
— J’en apprends de belles, Miarka. Tu as conversé ce matin avec le groom du général pendant cinq minutes. Tu tentais sans doute de le débaucher. Tu sais bien pourtant qu’il est défendu de parler aux hommes sous peine du fouet. Aussi tu peux