Aller au contenu

Page:D. - Mémoires d’une danseuse russe, 1893.djvu/330

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
— 160 —

promena dans l’atelier. Toutes les ouvrières se levèrent sur son passage, et l’embrassèrent avec effusion. J’en fis autant quand elle arriva à moi, et je l’embrassai du meilleur cœur du monde.


Vignette typographique
Vignette typographique