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Page:D. - Mémoires d’une danseuse russe, 1893.djvu/503

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Depuis que j’ai trouvé ce qui me manquait, quand je veux loger le bel outil dans mes fesses, je fais monter Mina, qui accourt au premier appel, et dont l’ardeur et l’agilité ne se démentent jamais.

Quand je veux que la fête soit complète, j’envoie quérir Catya, dont je confie la correction à un jeune serf, qui lui applique sur ses genoux des fessées terribles avec sa grosse main velue, qui lui met chaque fois les fesses en sang. Je lui ai enseigné à la gifler entre les cuisses, ce qui lui fait pousser des hurlements de bête fauve, et moi j’y gagne un tel feu, à voir déchiqueter ces fesses et ces cuisses détestées, que je prends ce jour-là un plaisir inouï.

Yvan, lui aussi après cette verte fessée, surtout depuis qu’il la gifle entre les cuisses, est dans un état de raideur tel, qu’il fait jusqu’à quatre voyages, quelle que soit la route qu’il parcourt.

Mina elle-même y gagne en ardeur, et je bénéficie triplement de la rude fessée appliquée à Catya, que je réserve pour nos