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Page:D. - Mémoires d’une danseuse russe, 1893.djvu/51

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quoique petites. Puis sa main vint me caresser par devant.

Elle enleva son peignoir, releva sa chemise, et s’accroupit sur un bidet dans lequel elle avait dû préparer sans doute un bain de siège parfumé. Elle m’ordonna de lui bassiner l’entre-cuisses et les fesses. Je dus laver toutes ces parties à grande eau. Puis je dus l’éponger, et l’essuyer avec une fine serviette. Au bas de la toison elle me fit enfoncer un doigt recouvert du linge dans la cavité en me recommandant de la frotter sur le bord.

— J’ai encore besoin de tes services Mariska. Je ne t’ai pas fouettée jusqu’ici, mais nous allons voir si tu ne le mérites pas avant la fin.

Elle s’assit sur le bord du fauteuil, la chemise relevée jusqu’au nombril. Ses fesses débordaient et entre ses cuises écartées, sous une épaisse fourrure noire, elle me montrait ce que je venais de laver, d’éponger et d’essuyer, qui bâillait comme une bouche d’en haut, seulement à celle-ci il y avait des moustaches tout autour.

— Mets tes lèvres là, ma fille, et viens