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Sur mon ventre se tord voluptueusement.
En ce moment la fustigée
Se tait, dans l’extase plongée,
Et semble attendre le moment
D’un délicieux dénouement ;
Mais soudain la nonnain a relevé Sifflante,
Et par deux coups, terribles, furieux,
Elle fait de sanglants adieux
Aux fesses de la pénitente,
Découpant un double feston
Sur la chair vive et palpitante.
Et pendant que se tord et hurle le tendron
Sous cet affreux coup d’éperon,
La nonne entre mes bras s’affaisse pantelante.