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Page:D - Jupes troussées, 1889.djvu/177

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d’elles, une des clubwomen sans emploi, saute à califourchon sur une croupe, présentant ainsi un double étage de superbes derrières, tous du plus blanc satin.

Comme il manque une écuyère, pour le dernier groupe, on me propose de prendre la place libre ; nouveau refus très naturel de ma part. La présidente jette sur moi un regard méfiant ; puis se dévêtant en un clin d’œil, elle saute à cheval sur la croupe vacante.

Huit de ces dames s’arment de verges, et s’en viennent chacune devant le double étage de postérieurs, exercer leur talent de flagellantes. Je cours d’un groupe à l’autre, m’amusant prodigieusement à ce charmant spectacle. On n’entend de tous côtés que le cliquetis des verges retombant bruyamment sur les culs en évidence, voltigeant de l’un à l’autre, cinglant le derrière d’en haut, cinglant celui d’en bas, y laissant chaque fois une raie blanche, qui se change à vue d’œil en rouge vif, zébrant la peau dans tous les sens. Les derrières bondissent sur les croupes, s’écartent, se ferment montrant dans un éclair, l’huis qui bâille entre les cuisses ; à