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Page:D - Jupes troussées, 1889.djvu/80

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son nom, au superbe développement du pantalon, tendu sur les magnifiques rondeurs cachées ; je ne voyais dans mes souvenirs que la glorieuse croupe de la sous-maîtresse Hélène, capable d’un pareil arrondissement. Une pensionnaire d’ailleurs n’aurait pas été aussi résignée. Agenouillée sur le bord d’un fauteuil, le front appuyé sur le dossier, les jupes relevées très haut sur les reins, la patiente tient dans ses doigts la fente du pantalon très écartée, présentant à la verge une partie de son derrière nu, car malgré l’écartement de la fente, les beaux globes n’ont jailli qu’à moitié, l’autre, moitié tombe des deux côtés de la culotte.

Juliette semble se plaire tout autant dans la contemplation du beau monument, que dans l’application de la verge ; elle dévore de ses yeux luisants de luxure, les belles chairs satinées que la verge, maniée avec une extrême indulgence, caresse beaucoup plus qu’elle ne châtie. La fessée, ainsi administrée, est pans doute du goût de la patiente, car les fesses se trémoussent, se serrent et s’entr’ouvrent méthodiquement, sous les coups mesurés de la verge caressante. De plus en plus cette façon