Page:D - Lèvres de Velours, 1889.djvu/153

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
 Les corrections sont expliquées en page de discussion
— 149 —


je me rassieds, et je l’attends, installé sur ma chaise. La mignonne saute sur mes genoux, s’embroche, et se rassied sur mes cuisses, enfonçant la machine, en s’asseyant dessus, et reste ainsi immobile sur ma quille.

Sophie, qui a les verges en main, commence la distribution sur le gros derrière, qui reçoit les coups les plus rigoureux impassible, sans broncher. J’attends toujours qu’elle se mette à chevaucher mais elle reste toujours immobile, enclouée sur mon piquet. Enfin, je la sens s’agiter, mais au lieu de voyager sur ma quille, elle se frotte sur mes cuisses, étreignant mon membre dans son vagin, qui se rétrécit ou s’élargit, au fur et à mesure que la verge retombe sur ses fesses ; la princesse redouble, l’instrument retombe en sifflant sur la peau tendue, résonnant comme sur les chairs froissées ; la mignonne continue son manège, se mouvant horizontalement, manège peu apparent pour les spectateurs, mais très appréciable pour mon priape, étroitement emprisonné. Les lèvres collées à mes lèvres, Miss Pirouett me