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la repoussant en avant sans faire un mouvement dans la gaîne que la verge occupe, tandis que d’un doigt agile, elles branlent avec ardeur l’aimable bouton d’amour, sur le bord de la grotte. Moi-même, le bras tendu, la main sur la toison, j’ai mis deux doigts sur le gros clitoris de l’ardente Américaine, qui l’a certainement aussi développé que la comtesse, car mes deux doigts qui s’y promènent caressants, ne le couvrent pas entier. Bientôt un long frisson court sur la ligne des dos, ridant l’épiderme, annonçant que le moment psychologique arrive ; et soudain, à un signal donné par Miss Pirouett, chacune, ramenant sa main gauche, fait jouer le ressort, qui projette le lait chaud dans le canal postérieur pendant que moi-même j’inonde le réduit qui étrangle ma verge entre ses bords contractés, et que mes doigts achèvent leur aimable besogne sur le clitoris, dans un bain de vapeur.

Après un gougnotage général, dans lequel je n’eus d’autre rôle que de stimuler les actrices de ce divertissement, on se sépara presque au jour en se disant au revoir.