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s’agenouille devant la chaste romaine, qui dort les jambes écartées, se faufile subrepticement entre les cuisses, approchant tout doucement la pointe de son arme de la plaie qu’il veut forcer, et quand il est juste devant l’orifice, qu’on découvre entrebâillé au bas d’un fouillis de poils frisés, d’une main, il dirige la verge, de l’autre il élargit l’entrée, donne un vigoureux coup de cul, et rentre jusqu’au fond, tandis qu’il prend entre ses bras le corps de la victime l’écrasant sous son poids et la maintenant immobile.

La Romaine qui se réveille à ce brusque assaut, se sentant forcée, se défend énergiquement, se tordant sous son bourreau, et cherchant à s’en débarrasser ; mais celui-ci la maintient étroitement comprimée sous son corps, pendant qu’il joue furieusement des reins. Quand le tableau revient, les deux corps bondissent ensemble et retombent avec fracas ; les fesses de l’assaillant sont tellement serrées que les deux globes semblent n’en faire qu’un, troué à droite et à gauche d’une grande fos-