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salon, sans me voir ; je m’avançai vers la porte, qu’elle avait laissée ouverte, je me trouvai dans un petit couloir. À gauche, une porte dont je tournai le bouton, communiquait avec un cabinet ; je repoussai la porte, et, en inspectant les lieux, je vis que j’étais dans une garderobe, qui recevait le jour par une porte vitrée, à travers un rideau de mousseline, donnant dans la chambre voisine, où j’entendais des voix. Bientôt la soubrette rentrait, fermant les portes derrière elle ; je compris que j’étais prisonnier. Le pis serait qu’on me découvrit ; mais on ne me prendrait pas pour un malfaiteur, et j’en serais quitte, au pis aller, pour une algarade.
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