tenant se remuent, s’écartent, se serrent, communiquant leurs impressions au centre des délices, dont les bords se dilatent, laissant paraître dans le haut, le petit museau rose du clitoris. Devant ce résultat, je suspends un moment la flagellation ; mais la princesse, sans se retourner, crie : « encore, encore ! » Pour utiliser les effets de la fustigation, on conduit la princesse au lit de repos. Lola, qui s’est dévêtue en un tour de main, s’étend sur le lit, couchée sur le dos ; la princesse s’étend sur Lola, renversée, le chat reposant sur les lèvres de la soubrette, qui va le fêter, pendant que je continue la distribution sur le gros derrière, qui étale, gros et gras, ses deux beaux-globes, légèrement zébrés par les lanières. Pendant que Lola fouille l’aimable asile, je reprends le piquant exercice, laissant retomber rudement les lanières, qui résonnent sur la peau tendue, sur les chairs. Maintenant le derrière, rouge sur toute la surface, se démène plaisamment, saute sur le nez de Lola, qui retient la croupe dans ses bras, puis, sous une grêle de coups, appliqués sévèrement, il se trémousse convulsivement, s’entr’ouvrant, se refer-
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