Page:D - La Comtesse de Lesbos, 1889.djvu/84

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nent les reins, et les deux amies, tirant sur les bords, du bout des doigts, parviennent à ouvrir une petite issue ; la verge bien assurée en face de l’orifice, je n’ai plus qu’à la guider ; le gland y met d’abord le nez, puis il pénètre jusqu’au revêtement, et enfin tout le membre y disparait, écartant brutalement les parois, qui craquent, arrachant des cris de douleur à la patiente, qui bondit sur le ventre de Lola, qui boit ses plaintes sur ses lèvres ; et, malgré la résistance des parois élastiques qui étreignent mon gros membre, je manœuvre assez librement dans l’étroit réduit. À chaque coup de verge qui pousse en avant le cul qu’elle visite, le godmiché s’enfonce dans le vagin qu’il fouille, ressortant à moitié quand je me retire, rentrant quand je repousse, suivant tous mes mouvements. Les quatre témoins suivent religieusement la manœuvre et maintiennent toujours la mignonne immobile, ce qui est devenu inutile, car elle ne résiste plus, et semble même prendre goût à la chose, enchantée de ce qui lui arrive. En effet, le couple se trémousse sous mon corps, répondant à mes secousses par des trépidations convulsives et