Page:D - Le marbre animé, 1889.djvu/77

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enchantés que lui arrache le plaisir.

Un peu lasse après tous ces exploits, mais non saturée, elle vient encore solliciter Jacques, chatouillant les pelotes de Vénus, d’une main caressante, passant et repassant le doux velours entre mes cuisses, prenant le membre dans la main, le pressant, l’agitant, le branlant ; et quand, docile à d’aussi tendres ordres, Jacques lève la tête, je viens satisfaire la mignonne à la paresseuse, dans le charmant enlacement qu’exige cette aimable position. Les deux corps n’en faisant qu’un, nous goûtons les plus douces voluptés, et nous nous endormons dans les bras l’un de l’autre, d’un sommeil, qui ne s’achève qu’avec la nuit.

Quand nous nous réveillons, nous croyons goûter encore les douceurs du joli rêve qui nous a bercés toute la nuit, et ma verge, dure comme un coin de bois, inspire à la mignonne le désir de goûter par la voie détournée,