Page:D - Les Callypiges, 1892.djvu/121

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de la maîtresse. Celle-ci jette ses jupes par dessus les reins, repousse la chemise, et ordonne à la patiente d’ouvrir son pantalon. Charlotte tire sur les bords, et met au jour une partie de la belle mappemonde blanche, que Mrs Whipping s’empresse de rougir par une verte fessée, qui dure trois minutes, pendant lesquelles elle sermonne la patiente.

— Vous avez le cul bien dur Charlotte, il repousse la main comme une pelote élastique ; mais, tout-à-l’heure, les lanières d’un joli petit martinet vont l’assouplir et l’attendrir. Clic, clac, ça résonne comme sur du bois. Vous commencez déjà à vous débattre, je crois ; tant pis, gare la cravache alors ; et vous savez, mon cœur, que la cravache entame le cuir des chevaux, jugez donc de ce qu’elle ferait de votre gros cul pour dur qu’il soit.

La fessée terminée, Charlotte se relève les joues empourprées, et les yeux mouillés de pleurs.

— Maintenant, agenouillez-vous sur le bord de ce fauteuil. Bien. Prenez vos jupes dans vos mains, retroussez-les bien haut. Mlle Marthe,