Page:D - Les Callypiges, 1892.djvu/124

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— J’ai dit toute nue, répète Mrs Whipping ; qu’on enlève tout, les bas et les bottines !

Charlotte s’assied sur une chaise pour obéir. Pour retirer ses brodequins lacés, elle met une jambe sur son genou, nous montrant entre les cuisses, sous l’épaisse toison noire, la fente aux lèvres roses, tordue, cachée dans le haut par les frisons qui l’ombragent ; elle retire la bottine, puis le bas ; elle déchausse ensuite l’autre jambe, en nous offrant les mêmes riantes perspectives entre les cuisses.

— Debout, maintenant.

La superbe fille nue se tient debout, frissonnante, avec ses gros seins qui se secouent sur sa poitrine agitée, et la toison qui saute sur son ventre, offrant un ravissant tableau. La maîtresse la conduit vers un cheval de Berkley, et aidée de mademoiselle Marthe, elle suspend la jeune fille par les poignets, et lui attache les chevilles écartées aux montants.

— Et maintenant, esquivez ceci, ma fille, et cela, et puis ça encore !

Les lanières s’envolent et retombent sur les