Page:D - Les Callypiges, 1892.djvu/205

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ou de force, qu’elle le veuille ou non, elle est aujourd’hui ta maîtresse. C’est donc pour ce superbe cul que ce joli bijou va servir. Tu remarques que je l’ai un peu ménagé, cet opulent coupable, que le voisin d’en haut est plus maltraité, et tu ris, John, de ma mansuétude. Tu ne vas pas en rire longtemps, non plus que ta charmante maîtresse.

Mais, au fait, si tu veux lui prouver de nouveau ta tendresse à ce beau derrière, et lui faire tes adieux, avant qu’il ne soit endommagé, et hors d’usage, il est à tes ordres ; tu vois bien qu’il t’attend.

John se précipite sur l’objet condamné à toutes les humiliations, et, malgré la résistance désespérée de la dame, qui serre étroitement les fesses, contractées par la terreur, il pousse brutalement, déchire l’huis qui résiste, et pénètre brusquement jusqu’au fond, poursuivant ensuite paisiblement sa besogne jusqu’à l’issue heureuse pour lui, qui ne se fit guère attendre, tandis que la victime gémit affreusement, souffrant le supplice du pal.