Page:D - Les Callypiges, 1892.djvu/220

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

doublés, qui amènent des teintes de plus en plus foncées sur le gros postérieur ; elle accentue la rigueur, la verge laisse de longs sillons livides, le cul se tord de douleur, et se trémousse violemment sur la gorge écrasée ; la cuisson de la chair mise à vif doit être terrible, car la patiente pousse des cris à fendre l’âme, bien que la peau ne soit pas entamée.

On laisse un moment la victime ainsi exposée, secouant son derrière palpitant sous les yeux de sa mère, voilés par les pleurs, qui obscurcissent le tableau. On enlève enfin la victime, qu’on agenouille devant l’ottomane, pour que la fille puisse à son tour assister au châtiment de sa mère. La gorge de la mignonne, soulevée par les sanglots qui la suffoquent, ballotte les petits boutons de roses ; ses deux mains cherchent à couvrir pudiquement certains appas qu’elles cachent mal, des perles brillent au bout de ses longs cils, ses lèvres roses tremblent ; la belle fille nue, toute frémissante, présente un délicieux tableau. Vue de dos, elle offre un spectacle non moins ravissant ; au-dessus de cuisses très-blan-