Page:D - Les Callypiges, 1892.djvu/236

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à la coupable de tenir son pantalon grand ouvert. Celle-ci écarte les bords, et aussitôt apparaît un joli postérieur, à la chair blanche et rose, pas trop gros, dodu à point.

Elle reçoit, sans se plaindre, une grêle de claques, qui rougissent promptement la peau ; les jambes serrées nous empêchent de voir entre les cuisses ; mais bientôt la violence des gifles lui fait écarter les fesses, les cuisses s’entr’ouvrent, et on aperçoit la petite fente vermeille, ornée de petits cheveux blonds frisés.

Mrs. Switch fait un signe à Mrs. Flog, qui vient tenir la jeune fille courbée en deux ; puis, passant derrière la fouetteuse, descend le pantalon jusqu’aux chevilles. Elle se redresse, la verge levée sur la chair frémissante ; les coups retombent méthodiquement, claquent sur les globes arrondis, qu’ils marquent de sillons rouges. La jeune fille se tait toujours, mais son derrière parle pour elle, montrant à sa façon qu’il ressent vivement les piqûres de la verge.

Mrs. Switch, s’animant à la vue des plaisantes mines du ravissant derrière, accentue