Page:D - Les Callypiges, 1892.djvu/307

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dain en une confusion subite, qui empourpre sa figure et ses oreilles.

— Marie, vos désobéissances réitérées m’obligent à vous punir. Vous allez être fouettée sévèrement pour cette fois, à la prochaine je vous renverrai.

Vous, Gertry, et vous, Rosaly, attachez solidement votre camarade à ce fauteuil, puis vous vous en irez, je n’ai pas besoin de vos services aujourd’hui.

Les deux servantes conduisent Marie vers le fauteuil, l’agenouillent sur le bord, lui prennent la taille et les bras dans des courroies qui se bouclent au dossier. Elles attachent les jambes écartées ; puis, n’ayant plus rien à faire, elles disparaissent.

Je vais préparer la coupable méthodiquement, donnant le temps à lady G. de bien se graver tous les détails dans la mémoire ; je relève les jupes, que j’épingle dans le haut, je rabats le pantalon sur les genoux, et j’attache la chemise au haut des jupes, mettant à nu le gros postérieur et les cuisses rondes de la coupable, le