Page:D - Les Callypiges, 1892.djvu/310

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les indications que je lui donne, car, sans tenir compte de mes avis, incapable d’ailleurs de les suivre, elle se livre à une brillante improvisation, et assaisonne le pauvre postérieur d’une terrible façon. Les fesses se tordent sous l’horrible cuisson, la victime hurle, rien n’y fait, la belle Russe s’en donne à cœur joie, fustigeant à tour de bras, et soulevant des sillons sur les globes entamés. Marie écarte les cuisses violemment, la fouetteuse qui aperçoit l’huis entrebâillé, au milieu d’un fouillis de poils, dirige les pointes de la verge vers la grotte touffue, et la cingle avec une telle violence, que le premier coup ensanglante les bords, en arrachent un cri déchirant à la fustigée. Elle reprend ensuite sur le cul, fouettant toujours avec fureur.

Pour qu’elle ne fasse pas de la bouillie du pauvre derrière qu’elle maltraite, j’arrête le châtiment, laissant la victime un moment dans cette émoustillante posture. Le postérieur palpite toujours, Marie soupire tendrement, lady G. contemple avec un ravissement manifeste la croupe endommagée, puis elle se penche pour voir de