Page:D - Les Callypiges, 1892.djvu/47

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Je l’emporte sur l’ottomane que voilà, où au moyen des courroies, je l’attache solidement par les jambes, et je rabats le pantalon jusqu’aux genoux, découvrant en entier le cul empourpré, pendant qu’elle se débat en vains efforts. Elle endure les premiers coups sans se plaindre, mais au sixième elle pousse un cri perçant, son postérieur meurtri se tord sous les cuisantes morsures de la verge, que je dirige de temps en temps entre les cuisses, sur la surface plus tendre et plus sensible, ce qui la fait hurler de douleur. Je la cingle vivement en travers des fesses, meurtrissant dans tous les sens les chairs palpitantes, lui distribuant ainsi cinquante coups de verges. Après le cinquantième, je lui détache une main, la laissant se tâter la surface endommagée, pendant qu’elle se lamente et sanglote.

« Venez ici Miss Blond recevoir le châtiment de votre insubordination. » Miss Blond, obéissant à mon ordre, ouvre elle-même son pantalon, me présente sans hésiter son joli postérieur nu, et reçoit sans manifester la plus légère émotion une sévère fessée. Je prend ensuite la verge, et