Page:D - Les Callypiges, 1892.djvu/75

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une partie des splendides fesses, et, quoique la surface encadrée soit large et pleine, il en reste plus de la moitié emprisonnée. Elle tient un moment les bords écartés, pour nous permettre d’admirer ce superbe quartier de lune à la fenêtre, tandis que la toile transparente se rose des reflets des chairs emprisonnées.

— Rabattez le pantalon, dit une voix.

Mrs Skin-Tear lâche les bords qui se referment sans se rejoindre, retire la chemise, qu’elle relève sur les reins, déboutonne le pantalon et le rabat sur les cuisses, découvrant un splendide monument, devant lequel l’Olympe se serait prosternée. Mais, à peine a-t-on jeté les yeux sur l’adorable objet, que la même voix crie :

— Toute nue.

C’est lady Lovebirch, qui veut que l’on voie la merveille sans voiles, dans son état de nature, avant que les mains et les verges n’aient changé le ton délicieux de la chair de marbre de la blonde vierge.

Aussitôt on remonte le pantalon, on le reboutonne, on rabat les jupes, et les divines beautés