Page:D - Les Callypiges, 1892.djvu/82

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des délices, mais les pointes s’escriment à piquer légèrement le minet énamouré, plutôt qu’elles ne le froissent ; car la patiente, au lieu de serrer les fesses pour mettre à l’abri le chat fustigé, lève le cul, l’élargit, et le pousse en avant, comme pour permettre à la verge d’atteindre plus facilement les bords enchantés de la caresse. Puis, sous une avalanche de coups, cinglés en travers du derrière, les gros hémisphères veloutés se tortillent violemment, se serrent, se contractent, s’écartent brusquement, et le cul se dandine dans un voluptueux balancement, pendant que la victime serre les cuisses maintenant, se frottant lascivement.

Lady Lovebirch, pour terminer dignement l’indulgente correction, reprend son bouquet de roses et en fouette la patiente à tour de bras, émiettant les pétales sous le cul fumant et sous le chat pâmé, où quelques-uns restent collés, se confondant avec les lèvres roses dont ils ont la couleur.

Lady Lovebirch cesse de fouetter, et reste en extase devant le cul empourpré, admirant