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Page:D - Odor di femina, 1900.djvu/129

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crudité de langage qui distingue les paysannes des putains bien élevées :

— Nicolas ne se gêne pas, il m’envoie tout son foutre, puisque le mariage est au bout, et que ça n’a jamais pris. Si ça prenait, monsieur le maire n’est pas loin, non plus que monsieur le curé. Puis moi, je ne jouis pas bien quand on décharge à la porte comme les meuniers ; alors, je prends tout, not’ maître, et je m’en trouve bien.

Je venais de m’apercevoir qu’en effet elle s’en trouvait bien, et puisqu’elle accepte aussi volontiers l’infusion, j’aurais bien mauvaise grâce à lui déplaire en me gênant.

Vous ne serez pas surpris, que lorsque nous fîmes une seconde halte, ne pouvant avoir cette superbe croupe de la grosse fille dans mon lit, j’essayai de la paresseuse, comme je prenais la regrettée Angélique, avec laquelle c’était si bon. Ici, il n’y avait pas la chaleur excitante du lit, ni les corps nus collés l’un à l’autre, les tétons cependant entrèrent en danse, mais il y avait une petite compensation, je devrais dire une large compensation, car je veux parler de la volumineuse paire de fesses, de cette mer de chairs dans lesquelles je barbotais, puis de ces grosses cuisses qui écrasaient les miennes, pendant qu’elle faisait tout l’ouvrage.