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Page:D - Odor di femina, 1900.djvu/135

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dedans que je m’avisai de me servir de la geôle comme d’une gaine, allant et venant comme dans un con satiné, et quand je sentis les écluses se rompre, je plongeai le gland dans le gosier, vidant le contenu dans l’estomac.

Je voulus retirer ma verge, elle ne la lâcha pas, la gardant dans ses lèvres, et pendant que le sirop gargouillait dans le gosier, alléchée par l’appât du gain ou par le feu qui la brûlait, elle suça, jusqu’à ce que le sire eut repris sa brillante tenue. Elle tomba à la renverse, levant ses jupes, s’offrant dans un rut bestial, et je vins l’assaillir comme un mâle affamé. Elle s’enferra elle-même jusqu’à la garde, m’enfermant dans ses puissantes cuisses de cavale, qui enveloppaient mes fesses nues, tandis que mes mains passées sous les siennes, pinçaient les chairs jusqu’au sang.

Une fantaisie me prit, je voulais avoir sa gorge sous mes yeux ; mes mains quittèrent les gros appas charnus, venant défaire le corsage dont mon impatience fit sauter les boutons, mettant la gorge nue, sur laquelle je me précipitai, la bouche ouverte, les crocs en avant, comme un cannibale, affamé par ces gros seins dodus, grassouillets, à la viande rose, tandis que mes deux mains revenaient s’accrocher aux chairs palpitantes des grosses fesses.

Je restai plongé dans la fournaise dans la-