Page:D - Odor di femina, 1900.djvu/37

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sinua par la fente, le contact fut plus intime sur la chemise mouillée collée aux fesses humides, que je sentais frémir sous mes doigts caressants.

Je sentais croître dans ma culotte une plante sensitive, qui aurait volontiers occupé un coin de la serre chaude qui s’entr’ouvrait sous mes doigts, comme une invitation à entrer ; mais la femme de ménage pouvait rentrer d’un moment à l’autre et nous surprendre en flagrant délit. Je me contentai pour le quart d’heure, tout en la tenant serrée sur mon sein, et embrassée sur la bouche, de relever peu à peu la chemise par derrière, et de glisser ma main sous ses fesses, allant accoster le bijou voisin, que je branlai tant bien que mal dans cette posture difficile. Ici ce fut une vraie cascade, la sueur mêlée à la rosée que distillait le bouton ému, dégouttait sur mes doigts, tandis que la propriétaire palpitait dans mes bras, et flageolait sur ses jambes.

Je la laissai toute rouge, en entendant les sabots de la femme de charge qui revenait et qui nous retrouva causant le plus naturellement du monde. J’étais dans un état facile à deviner, et je cherchais un prétexte pour éloigner ce témoin gênant, quand elle me le fournit elle-même en allant donner des ordres aux laveuses.