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Page:D - Odor di femina, 1900.djvu/70

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nence, posture dans laquelle celle qui prend les dessus étale son derrière dans toute son indécence, et pour la première représentation, j’aurais perdu mon latin à insister, je rejetai ses jupes et sa chemise sur le ventre, découvrant tout ce qu’il faut pour pratiquer cette douce manœuvre. Janine se disposait à prendre place entre les cuisses écartées devant le chat doré de son amie, ne connaissant pas d’autre manière.

— Pas ainsi, ma belle rousse, viens, que je te montre comment deux amies doivent s’entr’aimer.

Je la conduisis à la tête de Marianne, qu’elle enjamba sur mon ordre, relevant ses jupes toujours à mon commandement, s’agenouillant, s’accroupissant, descendant son derrière nu jusqu’à ce que son chat fût sur les lèvres ouvertes qui l’attendaient ; puis, toujours guidée par moi, elle s’allongea, venant mettre sa bouche sous la toison de son amie, pour donner sa langue au chat. Marianne, voyant ce qu’on lui présente, ne se fait pas tirer l’oreille, elle tira au contraire, sa fine langue pointue, qu’elle lança dans la chair ouverte, enveloppant le clitoris, l’enfermant dans sa bouche, tandis qu’à l’autre bout, Janine, la figure enfouie dans les