Page:D - Odor di femina, 1900.djvu/96

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— Si elle le connaît, la chérie, je le crois bien qu’elle le connaît. Je l’aime trop, ma mignonne sœurette, pour ne pas le lui avoir appris, en le lui faisant dans son joli nid. Viens ici, ma jolie Suzon, viens ma sœurette aimée, que je te fasse mimi devant not’ maître. Viens me faire pipi dans la bouche, ma belle.

Suzanne à cet appel saute sur sa sœur, s’accroche au cou, et grimpe comme une chatte, le long du corps nu, jusqu’à ce que sa petite toison noire soit à la hauteur du nez. Elle passe ses jambes, l’une à droite, l’autre à gauche, les cuisses sur les épaules, les pieds ballants dans le dos ; elle cambre ses reins, avance son derrière, les fesses élevées, pour poser son chat sur la bouche de sa sœur, qui se colle au bijou parfumé, la tête en arrière, et elle se livre avec un plaisir évident à sa chère besogne dans ce con choyé.

Je viens derrière la lécheuse, et pendant que je fais courir ma main caressante glissée entre la chevelure et le dos, sur les reins lustrés, j’admire dans le haut la jolie frimousse de la cadette, qui fait déjà des grimaces de plaisir, délicieusement remuée par les voluptueuses caresses que lui prodigue la sœur aînée avec une ardeur remarquable.

Je reviens devant la croupe suspendue dans