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des attraits romanesques de la pensée. Il voyait Victoria ce qu’elle était réellement. Son œil juste, qui appercevait ses beautés, discernait ses défauts. Il apprécia ses qualités et ses talens, et voyait en même tems son obstination, sa violence et sa fierté. — Puis-je, se demandait-il, être véritablement heureux avec une créature aussi imparfaite ? non, à moins que je ne change les touches trop hardies de son caractère en des qualités plus estimables. Sans cela, je sens que tous ses attraits seraient insuffisans pour m’attacher. Aimer une femme pour ses charmes physiques seulement, m’est impossible ; et ce n’est qu’en y joignant un mérite réel que Bérenza peut se voir fixé. Ce fut en continuant de réflé-