Page:Dacre - Zofloya, tome 2.djvu/25

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homme que le hazard lui amenait. — Eh bien, mon jeune ami, lui dit-il, cette demeure que vous semblez admirer est la mienne, et si vous voulez, nous pouvons y avoir une conversation plus satisfaisante pour tous deux. Votre air me plaît, et je me trouverai heureux de vous connaître davantage.

Leonardo ne pouvait se refuser à une invitation aussi amicale, et acceptant avec ingénuité la main du signor Zappi, ils entrèrent dans sa maison.

Leonardo fut conduit dans un appartement élégant, où, après l’avoir fait asseoir, le signor Zappi lui demanda s’il ne voulait pas prendre quelques rafraîchissemens. Le jeune homme refusa ; une conversation assez indifférente eut lieu d’abord,