Page:Dacre - Zofloya, tome 3.djvu/62

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j’espère. Faites-moi donner un peu de vin ; je crois que cela me fera du bien. » Il chercha à se lever en parlant de la sorte, mais sa faiblesse devenait plus sensible, particulièrement à Victoria. Elle fit servir le souper dans la pièce où était le comte, et ce soir-là elle permit, non par compassion, mais par une politique horrible, qu’il bût son vin sans mélange de poison, en regrettant toutefois que la prudence nécessitât ce répit.

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