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Page:Dacre - Zofloya, tome 4.djvu/26

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tu me préserverais du soupçon et du malheur ?

— Je ne vous ai pas dit que ce serait pour toujours. Je n’ai point un empire éternel sur le corps du comte… de plus, ce sont vos propres fautes… votre impatience, qui ont tout perdu.

— Oh ! je ne m’attendais pas à cette restriction, dit Victoria. Cependant, j’en suis sûre, il t’est possible de me préserver du danger qui, je ne le crains que trop, me menace, Depuis que je te connais, Zofloya, j’ai dû m’apercevoir que tu possédais des connaissances infinies ; ta science est supérieure à celle de tous les hommes ; et soit par étude, ou par un don particulier de la nature, rien ne t’est impossible. Le livre des des-