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Page:Dacre - Zofloya, tome 4.djvu/32

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bien une partie du mal qu’elle avait fait.

« Décidez-vous vite, Victoria ! lui cria-t-il avec une augmentation de sévérité. — Oui, oui, oui… je m’en repose sur vous… je m’abandonne à vous. Sauvez-moi des horreurs que je crains ; sauvez-moi de tout, Zofloya, ajouta-t-elle, la tête perdue, et que ce soit pour jamais !

— Allons, je m’y engage : je vais vous soustraire à ce qui vous attend, mais il faut vous décider à fuir.

— À fuir ! quoi, je quitterais tout ?…

— Oui, car je ne saurais détourner le cours des événemens dans lesquels je n’ai point de pouvoir ; je ne puis influencer la justice, Victoria, ni prévenir ce qui est indépendant de