Aller au contenu

Page:Dacre - Zofloya, tome 4.djvu/5

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

lement comme il tombait, et partageant sa chute, elle put presser sa tête contre sa poitrine.

À ce toucher, de fortes convulsions s’emparèrent d’Henriquez ; il chercha à retirer sa tête d’entre les mains de son ennemie, et ne pouvant y réussir, ses mouvemens convulsifs devinrent plus forts ; il ferma les yeux un instant, puis les rouvrant ensuite, il parut vouloir exprimer ce qu’il ressentait : regardant Victoria, d’un air de joie mortelle, il prononça ces mots : « Furie persécutrice… c’est ainsi que… que je t’échappe… à jamais ! » pas un mot de plus ne sortit des lèvres de l’infortuné, ni un soupir de sa poitrine ; et, triomphant dans son agonie, il expira !

Voilà donc encore une fois, les