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les plus pauvres, furent forcés, par insinuations et par menaces, de payer sous forme d’offrandes volontaires un impôt considérable. On rapporte qu’un malheureux en haillons, aux traits hâves et décharnés, dut apporter lui-même quelques pelotons de fil de soie, sa dernière ressource. Le grand personnage eut la bassesse de les recevoir de sa propre main, et la cruauté de remercier en souriant.

La soixante et unième année du mariage donne également occasion à des réjouissances extraordinaires, à peu près de même genre que celles du Hoan-kap ; mais ces fêtes sont, naturellement, beaucoup plus rares.